Nour-al-haqq

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Mercredi 16 février 2011 à 17:23

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O Mon mon frère, ma soeur, ne t'approche pas de la désobéissanceEt Tu n'auras pas à subir le prix de la sentence;


O Mon frère, ma soeur, obéis à tes parents, jusque dans le détail,
Jamais tu ne pourras ensuite vivre avec cette faille;

Ne sais-tu pas que dans le paradis, la faim n'existe pas,
Tu as connu ce coin de paradis dans le ventre de yamma;

Comme au paradis, le ventre de maman, préservait ta nudité,
Comme au paradis, son ventre, t'a préservé;

Qu'en est-t'il aujourd'hui de cette chère maman devenu âgée,
C'est ainsi que tu la récompenses, à l'oublié ?

On reproche aux personnes âgées, d’avoir Alzheimer,
Par Allah, que c'est nous qui oublions nos mères;

Es-tu devenu amnésique au point d'oublier, ce qu'elle a fait pour toi,
Après tout cela, tu oses monter contre elle la voix ?

Qui donc a résisté courageusement à te porter durant neuf mois,
En contrepartie, nous lui répondons, on oublie tout cela;

Comment veux-tu avoir la miséricorde de Dieu,
Toi qui a relégué tes parents au rangs de "vieux";

Attention à ne jamais provoquer de larmes sur leurs visages,
Par Allah qu'un cœur éveillé ne saurait tourner la page;

Le Prophète t'a rappelé à ta mère par trois fois,
Toi, à la première fille venue tu l'as laissé sur le tas;

Penses à elle, la pauvre, celle qui pour toi, a retiré de sa bouche,
Elle qui dans ton dos, souffre et pleures pour toi quand tu te couches;

Non, n'oublies jamais cette dame, qui a subit les pires souffrances,
C'est elle qui a fait de son mieux pour embellir ton enfance;

Attention, je te le répète, ne provoques pas ses larmes,
Car Allah contre toi sortira les armes;

Attrister ses parents, reviens à sortir de Sa Protection,
Tu n’auras alors d’autres choix que d’assumer le poids de ton action ;


Qui sont donc ces gens qui rentrent entre toi et ce ventre qui t’a donné vie,
Ont-ils autant d’importance et d’influence pour te priver… du paradis ?


Ta mère, ta mère, ta mère…
Oui, ta mère, ta mère, ta mère.


Contre qui vais-je pouvoir te remplacer ya oummi,
Toi qu’Allah a choisit pour me transmettre la vie ;


La première a pleuré sur ma tombe quand je serais enterré,
Je te rejoindrais ya oummi, si Le Seigneur veut bien m’accorder Sa pitié ;


Tout cela ne dure qu’un temps déterminé et dèja fixé,
Pleures et sors toutes les larmes de ton cœur, tu n’as nulle part ou aller ;


Allah, Allah Allah, combien de fois ai-je répéter ton Nom,
Combien de fois suis-je pourtant rester sourd à Ton invocation ;


Quel que soit la pire des fautes de ta vie que tu ai pu faire,
En dehors du shirk, et l’abandon de la prière ;


Saches que l’un des pires maux que l’on puisse faire sur cette terre,
C’est de contredire, répondre, faire pleurer, ta douce mère.


Lèves toi, et va tout de suite lui demander son pardon,
Ecrases ton égo, lèves toi, pars l’embrasser immédiatement sur le front.

Penses à son ventre, à ton paradis pour l'éternité,
Celui dans lequel tu n'as connu ni la faim, ni la nudité.

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